La Ciotat, novembre 2011
samedi 31 décembre 2011
mardi 27 décembre 2011
Séries en cours
Nouvelle rubrique sur ce blog : en haut à droite figurent des séries "terminées". Elles seront mises à jour selon l'avancement du travail. Cliquez et vous serez redirigés vers youtube.
J'en profite pour vous souhaiter à tous d'excellentes fêtes.
J'en profite pour vous souhaiter à tous d'excellentes fêtes.
samedi 24 décembre 2011
mardi 20 décembre 2011
vendredi 16 décembre 2011
lundi 12 décembre 2011
jeudi 8 décembre 2011
samedi 3 décembre 2011
mardi 29 novembre 2011
samedi 26 novembre 2011
mardi 22 novembre 2011
vendredi 18 novembre 2011
lundi 14 novembre 2011
Les enfants
Au parc, assis sur un banc.
Le plaisir simple et absolu de les regarder jouer et grandir.
(Villejuif, octobre 2011)
samedi 12 novembre 2011
mardi 8 novembre 2011
vendredi 4 novembre 2011
lundi 31 octobre 2011
jeudi 27 octobre 2011
dimanche 23 octobre 2011
mercredi 19 octobre 2011
samedi 15 octobre 2011
mardi 11 octobre 2011
vendredi 7 octobre 2011
mercredi 5 octobre 2011
Sur la photographie
"I wondered how Garry Winogrand could shot 2500 rolls of film and not process them. That's a scarry thought. I'm starting to see, it's about doing, about shooting. At those moments, yes, I do feel alive. And the best is shooting war. War is the purest form there is. In war, you don't have editors, girlfriends, or bad news from home. It's just you. It's you surviving with other people surviving. Like all of a sudden everybody is caught up in this thing... Life at that time is magical. It's less complicated. It's about walking or standing still.
// YOU TURN OFF PHONES. THERE'S NOBODY HAMMERING AT YOU.
DID YOU PAY THIS BILL? DID YOU PUT OUT THE GARBAGE?//
Generally, I don't sleep. For me photographing a conflict situation - wether it's a natural disaster, or all-out war - everything comes into play, your wits, your senses, everything is fine-tuned. You're sharp as a switchblade. Everything slows down. There's a kind of zen to it. You become totally in tune with yourself, your camera, your body. Everything else gets pushed out. It's like sleepwalking. //IT'S A TRANCE///
Stanley Greene, in Black Passport, Scene 22.
Schilt Publishing, 2010
lundi 3 octobre 2011
jeudi 29 septembre 2011
dimanche 25 septembre 2011
mercredi 21 septembre 2011
lundi 19 septembre 2011
vendredi 16 septembre 2011
Sur la photographie
"Lorsque j'ai découvert sa photographie, elle m'a donné la certitude que l'on pouvait inscrire sur des images quelque chose de notre passage dans ce monde. Plus exactement qu'elle était l'outil idéal pour parler du "passage", de cet étonnement de l'instant: voir, rencontrer, laisser derrière nous, comme sur une route le paysage défile, ce que nous ne verrons plus jamais. Cette interrogation lancinante de la présence et de la disparition, toutes deux inscrites dans l'image photographique. (...) La photographie de Bernard Plossu caresse le monde. Elle a cette douceur et cette humilité qui reconnaît la beauté dans le non spectaculaire. Surtout, elle est une recréation subtile du regard: ni documentaire, ni esthétisante, elle nous porte à goûter le sentiment éphémère d'être au monde".
Didier Brousse (Galerie Camera Obscura, Paris)
in Bernard Plossu, Le pays des petites routes. En Ardèche.
Editions Yellow Now, 2011.
mercredi 14 septembre 2011
samedi 10 septembre 2011
Théo ou le temps neuf
"L'enfant dit tonton pourquoi il faut mourir?
Le vieux répond ce sont les autres qui nous font mourir.
Pourquoi tonton ?
Parce qu'ils ne nous aiment plus.
Alors moi je t'aime alors tu mouriras plus.
Le vieux se rendort. L'enfant continue sa lecture."
Robert Pinget, Théo ou le temps neuf, Editions de Minuit, 1991.
mardi 6 septembre 2011
vendredi 2 septembre 2011
mardi 30 août 2011
vendredi 26 août 2011
dimanche 21 août 2011
mercredi 17 août 2011
samedi 13 août 2011
mardi 9 août 2011
jeudi 4 août 2011
samedi 30 juillet 2011
mercredi 27 juillet 2011
Arles 2011 ou les abysses de la photographie...
Arles, 2008
Je ne suis ni un photographe professionnel, ni un expert du monde de l’Art, juste un « amateur éclairé » pour reprendre une formule convenue. Et je reviens des Rencontres d’Arles, rendez-vous annuel du gotha de la photographie, que je fréquente régulièrement, et le plus souvent avec plaisir, depuis quelques années. Quelle n’a pas été ma stupéfaction et, au final, ma colère en parcourant les différentes expositions (pas toutes je dois l’avouer, j’ai craqué avant la fin), en particulier celles du parc des ateliers.
Pourquoi, par exemple, être allé chercher E. Metidines, photographe mexicain spécialiste de la rubrique des faits divers sanglants, et remplir trois grandes salles de photos souvent à la limite du supportable. N’y a-t-il rien d’autre à montrer dans le cadre de l’année du Mexique ?
Plus grave à mes yeux, il semblerait que quand les commissaires d’exposition n’ont rien à dire ou à montrer ils conceptualisent. Le sommet de la démarche est atteint avec l’exposition « From here on » organisée par C. Chérioux, J. Fontcuberta, M. Parr, E. Kessel et J. Schmid (excusez du peu !). Sous couvert d’un discours post-quelque chose re-re-remâché que l’ouvreuse vous a bien demandé de « ne pas photographier » (!!???) (en gros : « la surabondance d’images liée à Internet et au numérique et la généralisation du copier-coller change tout et plus rien ne sera jamais comme avant », tarte à la crème de toutes les avant-garde autoproclamées depuis la nuit des temps), le spectateur assiste stupéfait à la déferlante du grand n’importe quoi, avec la nette sensation qu’on le prend pour un imbécile : photomontage grotesque d’un touriste devant des volcans, capture d’images de webcam « vernaculaires » sans queue ni tête, mur de bites venues du monde entier (super !!), captures d’écrans d’émissions TV, re-bite mais cette fois en vidéo, montages vidéos totalement niais se voulant parodiques, etc, etc.
Quelques mètres plus loin, section « découvertes des rencontres d’Arles », je tombe nez à nez sur un monsieur-poilu-tout-nu-sous-sa-douche tiré en 1x2m (mal mais ça doit participer de la « démarche »). Le programme explique, sans rire, qu’ « au cœur de sa démarche artistique, on trouve une collection pornographique accumulée au fil des décennies, constituée de magazines, d’images, de vidéos. Si la pornographie est pour beaucoup une affaire solitaire, Clary [l’Artiste dont il est question] se voit comme faisant partie d’une communauté d’hommes, appareil photo en main, l’ordinateur à proximité, prêt à prendre leur pied : un rituel important et constructeur d’identité. L’image finale, en tant qu’œuvre d’art, dépasse la représentation d’un seul homme, pour représenter une idée de l’homme en général ». Heureusement que le ridicule ne tue pas…
Soyons sérieux, je n’ai rien contre la photographie contemporaine (Gursky, Wall, les Becher, Marchand & Meffre, Mercadier…), au contraire, mais il faut qu’elle soit porteuse d’un minimum d’émotion, de sensibilité, de sincérité, de rigueur artistique. Là c’est juste affligeant de bêtise et de nombrilisme. Je reste stupéfait que les Rencontres soient descendues si bas.
Heureusement qu’il restait la passionnante exposition sur l’usage de la photographie par le New York Times Magazine pour garder espoir.
lundi 25 juillet 2011
vendredi 22 juillet 2011
Contrôle technique
Institut Gustave Roussy, 11 juillet 2011.
Contrôle 18 mois après la fin du traitement : "ça ne peut pas être mieux" dit l'oncologue. On a beau s'y attendre, l'angoisse est toujours là et c'est, à chaque fois, un vrai soulagement.
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