De la série "Un été entre deux"
jeudi 11 septembre 2008
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"L’attente patiente du point d’équilibre", que décrit Stieglitz, postule le caractère essentiellement caché de la réalité de la même façon que, chez Robert Frank, l’attente du moment de déséquilibre révélateur qui lui permettra de surprendre la réalité dans ce qu’il appelle "les intervalles". (in S. Sonntag, Sur la photographie)
2 commentaires:
Je reviens à la charge avec le cadrage, mais que dirais-tu d'essayer un format carré en enlevant le bord de la soucoupe volante (à droite de la photo) et en coupant la photo à quelques millimètres du museau du cheval. Peut être que ça rendrait la présence de la pitchounette plus forte (elle fait toute petite si non). Naturellement, si je me permets, c'est que je suis touchée par la photo! Bises d'une Céline et d'un petit monstre qui lui tape le ventre!
Salut céline,
A mon avis en coupant on va perdre l'élan. Le cheval va venir buter contre le cadre de l'image alors que là l'image respire. On part dans le tourbillon. En plus tu vas supprimer l'élément de décor au fond qui est quasi net et qui constitue une sorte de "point d'appui visuel (le second avec la jeune fille, en fait). Je crains que l'ensemble soit alors assez déséquilibré.
Merci mille pour tes commentaires. j'adore discuter photo.
Bises ) tous les deux et demi
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