2 mars 2013, retour de soirée, Théo s'endort en me tenant la main.
Ce qui est précieux...
"L’attente patiente du point d’équilibre", que décrit Stieglitz, postule le caractère essentiellement caché de la réalité de la même façon que, chez Robert Frank, l’attente du moment de déséquilibre révélateur qui lui permettra de surprendre la réalité dans ce qu’il appelle "les intervalles". (in S. Sonntag, Sur la photographie)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire